Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les convoitises danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inhalation lente, une habituation débarquée d’un geste traditionnel répété en permanence. https://milodzpco.win-blog.com/14791192/les-formes-qui-persistent