À mesure que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement assidu devenait quelques pulsations asymétriques, par exemple si le rocher répondait à un effet profonde plus qu’aux déplacements de l’océan. Le musicien enregistrait n'importe quel session avec une rigueur pénétrante, https://andrebotyb.ampblogs.com/les-tambours-de-la-promontoire-70888512