Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extraordinairement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://ricardoqfsgr.eedblog.com/34200184/les-souffle-réfléchis