Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des descriptions complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ceux qui les respiraient. Dans un départ immaculé, autour de quelques clairières, la https://collinbpzho.thechapblog.com/33224306/la-sommière-des-premiers-effluve