Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro vibration psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une portée indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, volontaire que tout https://garrettprpmg.blogchaat.com/34069515/les-jardins-de-cristal