Le manoir se dressait, strict, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une composition de verre et de métal résistait encore au saisons : une serre oubliée, énigmatique arrière un mur de végétation sauvage. https://andreofqzg.blog-ezine.com/33905655/le-jardin-des-obscurités-statiques